Oakoak - Le détournement des objets de tous les jours


OakOak, Mario is dead, 2018, Ostend
Aujourd’hui, chers amis de tout temps, (c’est qu’on devient proche vous et nous), il est l’heure de parler d’un autre street artiste. Après Banksy, Slinkachu et Miss Tic, aujourd’hui attaquons nous au king du détournement, Oakoak.

OakOak, Munch The Scream
En plus d’avoir un nom super stylé, il est français. C’est toujours agréable de savoir que parmi nous, il y a des gens talentueux. (C’est une blague, on sait que vous êtes très bons en… quelque chose).
Depuis 2006, Oakoak fait de la ville son terrain de jeu ! Un panneau de circulation, un poteau ou encore une fissure dans un mur suffisent pour que sa créativité les transforment en œuvres d’art ! Rien ne lui résiste et c’est irrésistible pour nous !

Oakoak, Fishborne
En ajoutant des petites références d’univers geek du jeux vidéo, c’est avec humour et dérision que notre artiste partage sa vision des choses.
De Bangkok à Toulouse, on ne l’arrête plus, Oakoak nous divertis tout en réutilisant les objets du quotidien.

Oakoak, Leela
Dans la rédac’ de Museum, nous aimons imaginer que les objets prennent vie, à la Toy Story et que dans notre dos, les lampadaires discutent de la pluie et du beau temps, que les bornes d’incendie s’amusent à compter le nombre de voitures rouges et que les bouches d’égout râlent d’être écrasées.
Oakoak donne vie à ces objets de tous les jours, si souvent oubliés et incompris.

Oakoak, Dhaslim, 2014

Oakoak, Milhouse in Mulhouse, 2017
Pour retrouver l’ensemble de ses oeuvres, n’hésitez pas à passer sur son site Internet, et dites bien que vous y allez de notre part !